Raplapla

Raplapla, tel est ma perception de mon corps en ce début de nuit. Il est minuit passées, et je dois me lever dans un peu plus de quatre heures. C’est le drame !

Il est en fait nécessaire d’amener mes deux invités à la gare, pour qu’ils puissent prendre leur premier train sans se perdre en chemin. Moi qui comptais profiter de ma semaine sans horaire fixe le matin pour prendre trois heures de grasse matinée ! Raté.

En plus, ça doit bientôt faire sept jours que je dors presque moins de six heures par nuit. Mon corps commençait déjà à me le faire sentir vendredi, et je viens de passer deux jours à l’exercer et le travailler, accentuant une fatigue qui en est à un point où j’ai du mal à réfléchir.

Le début de la semaine va être difficile, très difficile.